Et non, plus d’excuse, par qu’internet est (enfin!) arrivé à la maison! Et oui, comme quoi, fallait pas désespérer… Bon, si on veut chipoter, on pourra toujours dire que Telefonica n’a pas honte de filer un modem dont l’interface de configuration se résume à choisir le nom du réseau, dont la sécurité peut se pirater en 5 minutes, et surtout qui ne fonctionne pas avec Windows Vista (problème ouvertement admis par Telefonica, pas de solution en vue). Il a donc été rapidement remplacé par un routeur plus performant…
Le même jour où internet est arrivé, j’ai aussi reçu ma carte bleue (c’était un peu Noël en avance ce jour là), donc je peux enfin arrêter de vivre à crédit. J’attends toujours ma bourse par contre, et mon pass scolaire pour le métro (Florine attend le sien depuis 8 semaines maintenant, sur les 6 annoncées).
Et dans les grands évènements de cette semaine, il y avait aussi la Convention Chilienne de Cirque et d’Arts de la Rue (lien en espagnol), du jeudi au dimanche, à Isla de Maipo (vous êtes gâtés avec les liens aujourd’hui, j’espère que vous aimez cliquer). Toute la maison y était (exceptée Molly), ainsi que la majorité des gens concernés par le cirque de près ou de loin. Ça se déroulait dans un camping, avec des ateliers le jour et des spectacles la nuit. Je n’ai pas encore classé et arrangé les photos, donc ce sera pour un post ultérieur… On a suivi l’atelier de mât chinois, c’était une classe super intéressante où on a appris pas mal de nouveaux trucs, on a même travaillé le saut d’un mât à l’autre (belle occasion de me bruler le bras en me ratant à la réception, ça fait partie du jeu). Au niveau des spectacles, c’était à mon avis plus riche le vendredi que le samedi, où l’animation a été assez désastreuse, mais je détaillerai tout ça avec les photos (sinon ça va être un peu abstrait).
Pour changer un peu du cirque, et pour concurrencer les exploits culinaires de Gaspard qui a apparemment trouvé un autre Adrien avec qui faire des tartiflettes, hier j’ai fait des timbales de brocoli, c’était super bon et super simple : suffit de bien cuire les brocolis (jusqu’à ce qu’ils soient bien tendres), les écrabouiller dans un plat, ajouter un onion émincé (cru), 1 œuf + 1 jaune d’œuf, bien mélanger et mettre au four 20 min à 200° dans un ramequin bien beurré (pour ma part, j’avais oublié le beurre, ça se démoule vachement moins bien).
Dimanche, on présente pour le Circo del Mundo notre spectacle qui “présente” la maison. On est pas encore totalement au point, donc cette semaine va être chargée de répétitions. Avec la convention, j’ai encore du terminer mon dernier devoir d’image pendant la nuit, et encore il me reste le rapport à faire (et mon rapport de stage, que je me suis promis de terminer avant novembre… Ça va pas tenir je pense).
La fin des cours s’approche à grands pas, le projet d’image aussi. Je vais travailler avec German (son fils Emiliano a 1 an aujourd’hui, joyeux anniversaire!) pour faire un système interactif qui a partir d’une vidéo permet d’effectuer différents traitements en temps réel, dans une optique artistique. Ça va surement être intéressant, même si j’aurais bien aimé finir mon année le 12 Novembre et pas le 1er Décembre…
Dans le prochain article (il faut bien garder son public en alerte), des photos de la convention.
Et pour finir, une drôlerie de mon oncle Pierre : y a-t-il 12 ou 13 personnes sur l’image suivante ?
Meurs chacal.
Je note ta ‘tite recette, c’est du genre que j’aime bien, pas trop de choses dedans, et simple à se rappeler 🙂 Tu mets combien de brocolis ?
(Comme ce qui ya à manger à l’IC est assez naze, faut que je me fasse à manger plus souvent, et donc varier un peu… déjà que l’année dernière j’étais pas très satistfait de mon répertoire … :D)
@Gaspard : Yep, ça se fait bien à condition d’avoir un four (ça doit marcher avec un mini four électrique). De mémoire il me semble que la recette mentionne 400g de brocolis, perso j’ai mis une moitié d’un brocoli de taille normale. Au final ça prend une petite heure à faire, mais en fait seulement une demi heure d’occupée (à moins que t’aimes les regarder cuire dans le four).
Ici aussi, les restos U sont nazes…