Après le précédent billet sur le cinéma (en quelque sorte), je vous conseille un autre article sur comment finir en garde à vue à 14 ans pour une bousculade. L’article se trouve sur le blog de Maître Éolas, blog à suivre s’il en est…
Il est assez intéressant de comparer cette dérive à l’image des policiers au Chili : à la sortie de Pinochet, les chiliens étaient un peu traumatisés par la police (on peut les comprendre). Pour arranger ça, l’état a organisé un plan de “sympathisation” des policiers, les faisant prendre part à travers divers programmes à la vie de la société. Cela incluait des sorties à la plage pour les personnes âgées, des activités pour les jeunes… Le résultat est qu’aujourd’hui, dans les rues de Santiago, le policier est (en général) un ami : on lui demande son chemin, s’il sait à quelle heure ferme tel magasin etc. Des images que je ne me rappèle pas avoir vu en France…